Articles de presse

Article de presse paru le 18 mai 2017 dans le journal "Le Midi Libre"

Plaquette participation au Téléthon 2017.

Article de presse paru le 20 février 2008 dans le journal "La Vie Nouvelle".

Installée à Voglans, elle aide ses patients à débloquer leurs "noeuds émotionnels".

Dominique Couffrant s'est installée sur les hauteurs de Voglans. Après avoir passé de nombreuses années à travailler à Paris dans le domaine de la sécurité du travail, elle a décidé, un beau jour, de changer de vie. "Est-ce la crise de la quarantaine, se demande-t-elle, ou bien la venue de mon troisième enfant ?"

Toujours est-il que Dominique Couffrant reprend ses études et suit une formation dirigée par Judith Micallef-Attali, la créatrice de la sophrologie active. "Il ne s'agit pas ici de sophro-relaxation pour la gestion du stress, mais d'une thérapie brève qui permet de désensibiliser le patient en allant chercher dans l'inconscient les conflits puissamment refoulés dans l'enfance", explique-t-elle.

A la lisière entre veille et sommeil

Au rythme d'une séance d'une heure par semaine, Dominique Couffrant place son patient dans un état de relaxation extrême, à la lisière entre veille et sommeil. Assis confortablement sur un fauteuil incliné, le patient, les yeux clos, est invité à respirer profondément par le ventre, de manière à détendre toutes les parties de son corps, de la voûte plantaire jusqu'à la surface du crâne. Aidée par une musique relaxante, Dominique Couffrant utilise alors des images afin de réactiver les évènements traumatiques vécus pendant l'enfance pour mieux les évacuer, "en séparant l'évènement de la douleur", explique-t-elle.

"Thérapie de mise en confiance, la sophrologie active permet de quitter les états d'inertie pour se mettre en états dynamisants. Ceci afin de lever les blocages inconscients, les inhibitions, et de changer son rapport à soi et aux autres." Consciente cependant que les mots ne suffisent pas, Dominique Couffrant prévient : "La meilleure façon de comprendre ce qu'est la sophrologie active, c'est de l'expérimenter."

D'autant que la sophrologue assure : "Si les gens font la thérapie jusqu'au bout, ça marche !". Cette technique permet de soigner aussi bien les TOCS que les phobies, mais également les comportements obsessionnels ou les forts sentiments de culpabilité. Et la thérapie est brève : généralement moins d'un an.